Philippe, Le Mari Candauliste Et Olga, LÉpouse Hypersexuelle : Un Séjour Candauliste
Ce séjour en Tunisie (« Philippe, le mari candauliste et Olga, lépouse hypersexuelle : le plaisir davoir un mari bisexuel », paru le 14 juillet 2019), avait été loccasion de réveiller, et de quelle manière, la bisexualité de Philippe et le plaisir si fort que jais dassister aux ébats entre hommes.
Cest sans doute le moment où je comprends le mieux et partage le candaulisme de Philippe. Japprécie cela dautant plus que cest rare, et même exceptionnel. Pour parvenir à ce résultat, je lavais plus quencouragé, je lavais fortement poussé à aller au bout des contacts quil avait eus sur les réseaux sociaux avec Mohamed.
Dans les jours qui ont suivi, Mohamed revenait régulièrement nous voir, insatiable de faire lamour avec mon mari, ou plutôt de le baiser, car il le traitait comme sa femelle.
Le jeune Tunisien nen revenait pas quun homme mûr, marié, père de famille, bisexuel, puisse être aussi chaud et accro à sa queue.
Mohamed avait entraîné Philippe dans dautres débauches homosexuelles et partagé avec des amis à lui le corps de mon chéri, et tout particulièrement sa bouche et son cul. Je ne lai su que plus tard et jen ai été furieuse, car cela constituait un accroc à notre pacte candauliste, selon lequel nous ne devions rien nous cacher. Je dois cependant reconnaitre que jétais mal placée pour reprocher quoique ce soit à Philippe. Jétais surtout frustrée de navoir pas pu assister à ces séances qui mauraient particulièrement excitées.
Je crains davoir joué avec le feu et que Philippe ne tombe amoureux du beau Mohamed et que, du coup, il vire sa cuti, au point de menacer la pérennité de notre couple, alors quil venait de se reconsti et restait fragile, puisque nous étions quelques mois après la découverte de ladultère prolongé entre Philippe et Ambre.
Philippe me rassura, aussi bien en se montrant assidu et performant auprès de moi, mais aussi en jurant que ses sentiments nallaient quà moi.
De mon côté, mes sens étaient exacerbés par le climat érotique qui avait été ainsi créé. Il y avait cette année-là, dans le contexte sécuritaire de la Tunisie, au lendemain dattentats terroristes, peu de touristes.
Nous bénéficiions donc de toutes les attentions, spécialement moi. Je pouvais constater, aux regards qui métaient adressés et, fine observatrice, aux érections, leffet que je provoquais. Il est vrai, quencouragé par Philippe, je donnais libre cours à mes tendances exhibitionnistes. A la plage privée de lhôtel, mes bikinis cachaient le moins possible mes seins et seul un fin string de bain cachait ma vulve, soigneusement épilée. Philippe mavait offert ces bikinis, lui qui aime tout particulièrement que je mexhibe.
Il fallait donc que moi-aussi je profite du séjour. Je men suis ouverte à Philippe, qui ma encouragé, me disant :
Je tai offert mon plaisir, ma chérie. Cest un juste retour des choses que je puisse maintenant te voir jouir. Il faut absolument profiter de ce séjour pour satisfaire notre candaulisme et ton hypersexualité.
Je me mis donc à choisir au niveau de lhôtel, nous navions que lembarras du choix, compte tenu des avances dont jétais lobjet et de la réputation que javais rapidement acquise. Ayant été sous la coupe de Rachid, je savais ce que voulaient dire « Kahba » (la putain) ou « Waqiha » (salope) quand ils parlaient entre eux de « Alfaransia », la Française.
Il fallait cependant trouver un mâle qui soit disposé à accepter nos pratiques.
UNE PREMIERE TENTATIVE QUI PROFITE A PHILIPPE
Notre premier partenaire fût Karim, un serveur, un ami de Mohamed, qui lui avait parlé de notre couple. Il se trouvait que Karim était bisexuel et quil fut donc ravi de se taper le mari et lépouse.
Karim nous a rejoints en fin de service, discrètement. Dès quil est entré à la chambre, où nous lattendions nus, je lai pris dans mes bras, pour échanger un long baiser et vérifier quil bandait bien.
Puis jai taillé une pipe à Philippe devant Karim. Ce dernier est venu me caresser et ma carrément bouffé la chatte. Le bougre menfonçait sa langue puis est venu membrasser à pleine bouche.
Il a baissé son pantalon et a fourré sa bite dans la bouche de Philippe. Il a enjambé le fauteuil pour se retrouver face à Philippe dont il baisait littéralement la bouche, pendant que moi je suçais Philippe.
Karim, fais-moi plaisir, encules mon mari !
Mais, chérie, et toi ?
Ne tinquiète pas, laisse toi aller. Tu sais que jadore ça !
Je métais installée sur le fauteuil de la chambre, les cuisses écartées et je me caressais les seins et la chatte en le regardant faire.
Karim avait mis Philippe en position de levrette, avec la tête dans le coussin et le cul cambré. Il lui a dévoré le cul et a même craché entre les fesses. Je suis venue écarter les fesses de Philippe pour guider le sexe de notre amant dans son cul. Il sest enfoncé en lui très profondément, ses couilles tapaient contre celles de Philipe.
Je pinçais les tétons de Karim et lembrassait. Jétais venue coller ma chatte contre le dos de Philippe et me trouvait à califourchon, à lenvers sur lui. Je pouvais ainsi admirer la bite de Karim qui défonçait lanus de mon mari. Karim était très excité.
Il me lavait dit Mohamed quil était bon ton cul. Et ta femme, comme elle est chaude ! Femme, mets-toi à quatre pattes à côté de ton pédé !
Jai préféré me mettre à plat ventre sur Philippe afin doffrir nos deux culs de manière superposée à Karim. Le salaud passait dun cul à un autre. Nous étions en train de nous faire enculer par le même homme.
Je me suis dégagée pour reprendre ma position initiale. Je me suis frotté la chatte contre le dos de Philippe, jétais excitée. Karim létait lui aussi et a indiqué quil allait jouir. Nous nous sommes mis tous les deux, joue contre joue devant sa bite et avons attendu les jets de foutre chaud contre nos visages.
Après avoir discuté un petit peu, Karim est parti. Je me suis retrouvé seule avec Philippe, qui venait à nouveau de se faire enculer par un amant devant moi. Nous avons ensuite baisé tous les deux et nous avons joui comme nous navions jamais joui auparavant.
Pourtant je restais sur ma faim. Nous étions là depuis plusieurs jours et cétait toujours la « disette » pour moi. Je nen pouvais plus, il fallait que je me soulage, en clair que je me fasse baiser et vite. Mohamed devant venir, je décidais de laisser les deux amants seuls et de me mettre à rechercher ceux qui allaient pouvoir éteindre le feu qui me consommait. Ça tombait bien : les deux amants mavaient demandé comme une faveur de les laisser seuls, ayant besoin de cette intimité. Javais accepté un peu à contrecur, car je ne me lassais pas dêtre témoin de leurs amours et jétais du coup particulièrement excitée. Mais cétait une occasion pour trouver ce que je recherchais : des amants pour moi.
Mon après-midi fut fructueuse, dabord à la plage, puis à la salle de gymnastique et enfin lors dune promenade au souk. Pendant que Mohamed baisait mon chéri, je navais pas perdu mon temps.
A MON TOUR
Ce soir-là, après le diner, nous avions regagné notre chambre. Jai pris rapidement une douche et suis sortie de la chambre, après avoir mis un peignoir, et revins quelques minutes plus tard. Des minutes interminables pour Philippe.
Je suis revenue rapidement accompagnée de deux mecs. Cétait Youssef et Ibrahim, respectivement moniteur de sports et surveillant de plage.
Javais chauffé Youssef et Ibrahim toute laprès-midi.
A la salle de gymnastique, au prétexte de mieux me montrer les gestes à accomplir, Youssef avait eu les mains baladeuses, tant sur mes seins que sur mes fesses et mavait fait sentir sa formidable érection. Nous étions seuls, mais, par prudence, il me murmura à loreille :
Tes trop bonne.
Je me suis retournée, je lui ai offert mes lèvres. Javais envie de lui dire oui, car après tout, Philippe mavait « chassé » de notre chambre pour rester seul avec son amant. Et surtout, je nen pouvais plus, javais une envie folle de baiser. Je me suis pourtant contrôlée au dernier moment, je voulais que Philippe puisse en profiter. Cétait lengagement de notre pacte candauliste et, alors quil avait tant satisfait mes fantasmes de le voir avec un mâle, je lui devais bien ça :
Moi aussi jaie envie de toi. On fera ça ce soir à ma chambre. Je te préviens que mon mari sera là et quil assistera. Ca ne te gêne pas ?
Si ça lui plait de se faire cocufier, pas de problème pour moi !
Jétais ensuite allée à la plage. Et cest là quIbrahim na cessé de tourner autour de moi, profitant de la faible fréquentation pour me draguer. Observatrice, je ne pouvais ignorer sa formidable érection, que javais provoquée par ma tenue qui ne cachait pas grand-chose. Les sourires et les clins dil échangés lui firent rapidement comprendre que jétais réceptive.
Prudent, Ibrahim sarrangea pour me donner son mobile, afin que nous puissions dialoguer par SMS, sans risques pour lui :
Cest moi qui te fais cet effet ? Je mappelle Olga.
Je sais, moi cest Ibrahim. Tous les mecs de lhôtel fantasment sur toi depuis que vous êtes arrivés. Certains pensent que le petit Mohamed vient pour toi, moi je sais quil vient pour niquer ton mari. Moi cest toi que je veux sauter, Olga !
Moi aussi jai envie que tu me baises, Ibrahim
Alors, je connais un endroit discret, je te dis où aller et je te baise, ça se voit que tes en chaleur.
Il y a juste deux problèmes : dabord, je veux que ça se passe devant mon mari
Cest spécial, mais ça me gêne pas !
Et jai promis ce soir de faire ça avec Youssef.
Youssef cest mon copain, comme un frère. Ça te dirait quon fasse ça à trois ?
Au contraire, cest une excellente idée ! Tu le préviens, je viendrai vous chercher pour vous conduire à la chambre.
Pour éviter toute tentation et tenir jusquau soir, je suis allée faire une promenade au souk de la ville, où je fis la rencontre de deux commerçants, Mouloud et Majid. Ce nétait pas prévu, mais ça me permit détablir un programme pour une prochaine journée, le plus dur fut de les faire patienter et de résister à la tentation de passer aux actes directement.
TRIO DEVANT PHILIPPE
Jétais donc allée récupérer Youssef et Ibrahim qui attendaient, à proximité de la chambre et avec impatience, mon signal.
Les présentations furent courtes. Ces deux mâles étaient venus pour baiser « Alfaransia ». Ils étaient fiers dêtre les premiers à faire ce dont beaucoup de mâles de lhôtel rêvaient depuis notre arrivée et ne cachaient pas leur mépris pour ce mari candauliste et bisexuel.
Philippe fit en sorte de rappeler que cela se faisait avec son accord et en sa présence. Il se leva en sexclamant :
Olga va se faire un plaisir dêtre votre partenaire ce soir. Vous pouvez lui faire ce que vous voulez, elle est prête, je vous loffre. Allez-y, on en meure denvie Olga et moi, alors faites-nous plaisir !
Je tenais mes deux futurs amants par la main.
Alors, Messieurs, on commence ?
Eh ben, merde alors, si on nous lavait dit, tu as vraiment envie, Olga ?
Allez arrêter de parler, oui, jai envie, faites-moi ça bien, je veux que cela dure longtemps.
A ces mots, les fauves étaient lancés, ils firent tomber le peignoir, je me retrouvais en string.
Philippe sinstalla dans un fauteuil et commença à mater. A lui aussi manifestement ça avait manqué.
Youssef avait déjà écarté mon string pour glisser un doigt dans ma fente humide. Pendant ce temps, Ibrahim soccupait de mes seins et de ma bouche. Ils me couchèrent sur le lit et Youssef retira mon string. Il enfonça sa langue, bien profond dans ma chatte et jeus mon premier orgasme. Je regardais Philippe qui se massait déjà les couilles au travers de son pantalon.
Ibrahim extirpa de son bermuda son membre déjà bandé, il était large et plein de veines apparentes.
Il me le présenta à sucer et je le gobais sans faillir.
Hum cette queue dans ma bouche, quel délice, cette langue et ces doigts dans ma chatte, quel bonheur et mon mari qui me regardait, cétait divin.
Ibrahim et Youssef échangèrent leur place et je fus émerveillée de voir la longue pine de Youssef sous mon nez, elle était grosse et longue. Je me mis à le sucer avec ardeur en la prenant dans une main et je lui caressais les fesses de lautre.
Ibrahim me titillait le clitoris avec sa langue. Très vite, jobtins un nouvel orgasme.
Jen voulais davantage. Je voulais quon me baise. Philippe avait mis à leur disposition des préservatifs.
Ibrahim présenta sa grosse queue à lentrée de ma chatte, détrempée et en fusion. Il senfonça délicatement en moi et je sentais bien sa large queue me frotter mes parois vaginales, cette sensation mexcita tellement que je marcboutais pour mieux la recevoir bien à fond.
Oh, enfin, que cest bon ! Vas-y Youssef, baise-moi !
Oh, que cela mavait manqué. Des semaines sans avoir fait lamour avec un autre homme que Philippe. Et pire, le climat érotique dans lequel nous étions depuis notre arrivée, les scènes auxquelles javais assistées avec Philippe, la séance avec Karim qui mavait laissé insatisfaite, et tous ces mâles qui me tournaient autour et ne cachaient pas quils voulaient me baiser. Jétais en chaleur comme je lavais rarement été.
Philippe sétait levé pour mieux voir. Jétais heureuse de jouir devant lui. Cette sensation dêtre observée, pendant que je suçais la longue tige dYoussef et quIbrahim me ramonait en profondeur, était sublime.
Allez, Messieurs, baisez la bien, elle en veut, cest une vicieuse, je vous lai dit, jai épousé une bonne petite cochonne qui aime se faire sauter devant son mari, allez donner lui vos queues, quelle hurle de bonheur.
A ces mots, je sentis en moi comme une déferlante de plaisirs et je me mis à jouir encore plus sans me retenir.
Vous voyez elle aime ça, elle en veut encore.
Oh oui, Philippe, mon amour, viens membrasser et vous, allez-y, démontez-moi, baisez-moi, comme une chienne, comme une salope !
Ibrahim se retira de moi et Youssef prit sa place et tout saccéléra quand je sentis cette longue bite me perforer, je ne pus me contenir et jécartais en grand mes jambes pour mieux la recevoir.
Après un moment, Youssef me retourna et je me retrouvais en levrette. Je reçus une nouvelle fois la bite dIbrahim à sucer. Mais cette fois ci, jétais trop à ma jouissance pour me concentrer sur sa queue. Il prit ma tête à deux mains et sactiva dans ma bouche comme dans une chatte.
Jétais perforée en cadence, je jouissais. Philippe les encourageait.
Ils sactivèrent en moi en rythme et je jouis encore dans un feulement de bête. Ils échangèrent de nouveau leur place et ce fut avec délice que je reçus de nouveau la large queue dIbrahim dans mon trou mouillé. Ils étaient particulièrement endurants et javais limpression quils ne sarrêteraient jamais.
Je jouissais sans discontinuer, ma bouche me faisait un peu mal, Ibrahim se retira et vient sasseoir sur le lit, Youssef sarrêta également après un dernier râle de plaisir.
Ibrahim me fit asseoir sur lui et je mempalais de nouveau sur sa queue bien bandée.
Il me fit mettre mes pieds sur le canapé pour être encore plus écartée. Hum, cétait divin, dêtre remplie ainsi. Philippe vint embrasser mon visage plein de jouissance. Il se régalait.
Alors, Youssef, à quoi penses-tu, il ne te plait pas le petit cul dOlga ?
Oui, il me plait, si tu le veux bien, je vais le prendre.
Elle nattend que cela, cette petite dévergondée.
A lidée dêtre sodomisée par Youssef alors quIbrahim était dans ma chatte, je me mis à frissonner de tout mon corps.
Tu as raison Philippe, elle attend que cela ta petite femme chérie, elle en frisonne déjà.
Eh, bien jattends pour voir, car je veux vous voir lui visiter tous ses jolis trous.
Mon mari prenait son pied de me voir baiser par eux. Cela se voyait sur son visage.
La queue dIbrahim était divinement excitante et performante et il savait baiser, ce salaud.
Il me plaqua les hanches sur lui et me bloqua ainsi, je savais quYoussef allait me pénétrer le cul car mon mari passa derrière mon dos. Ibrahim continuait à remuer du bassin et sa queue bien chaude irradiée ma chatte bien humide de jouissance.
Youssef enduit mon cul dun produit gras et présenta son gland à lentrée de mon anus.
A lidée de recevoir ce pieu dans mon cul, jen jouissais déjà.
Il me pénétra centimètre par centimètre, et obtint de moi des petits cris de jouissance à chaque poussée.
Il resta un moment dans mon cul sans bouger, puis recommença à enfoncer le reste de sa lance.
Javais le feu au cul, son pieu fouillait mon trou au plus profond et il se cala dun coup à fond et je sentis ses bourses me cogner les fesses. Jai hurlé mon plaisir, sans aucune retenue.
Oh que cest bon ! Comme ça ma manqué ! Ouiiiiiii
Youssef et Ibrahim se mirent à me pilonner comme des bêtes en rut.
Prise en sandwich, je hurlais sans cesse. Javais bien choisi, mes amants étaient performants et endurants et mavaient procuré de nombreux orgasmes, alors queux navaient pas encore joui, se retenant au dernier moment, fiers de me dominer comme un cavalier laurait fait avec une monture.
Après un long moment de fornication et après que jai eu un nouvel orgasme, Ibrahim et Youssef changèrent de position. Youssef allongeait sur le canapé, jenfonçais à nouveau sa divine queue dans ma chatte et Ibrahim prenait possession de mon cul bien préparé par la queue dYoussef.
Ils me pistonnèrent comme cela encore pendant un très long moment, jai renouvelé orgasme sur orgasme. Je regardais mon mari me mater. Je nen pouvais plus, mon visage était déformé par le plaisir, je sentais mon cur battre violemment, je pensais que jallais mourir de plaisir.
Après un ultime orgasme dévastateur, ils se retirèrent de moi et enlevèrent leurs capotes et éjaculèrent de concert sur mon cul, mes seins et mon visage. Quels flots de sperme, je reçus.
LA RECOMPENSE DU MARI CANDAULISTE
Jouvris les yeux, javais ma chatte et mon cul grands ouverts à quatre pattes sur le lit. Jétais complétement épuisée, mais je voulais récompenser Philippe pour cette merveilleuse séance.
Viens chéri, viens me donner ton foutre dans le trou que tu veux ! ! ! !
Jarrive ma petite garce, je vais remplir de sperme chaud ton petit cul de vicieuse.
Youssef et Ibrahim, sur un signe de Philippe se retirèrent discrètement. Ils venaient de me baiser pendant près dune heure et étaient eux-aussi épuisés.
Philippe présenta son gland à lentrée de mon cul largement ouvert.
Il me pénétra sans difficulté et après une très courte fornication, il me déversa tout son jus bien chaud dans mes entrailles, bien à fond et jobtins ainsi mon ultime orgasme de la soirée. Je meffondrais sur le canapé, morte de jouissance.
Tu as été superbe ma chérie, tu es vraiment une sacrée baiseuse !
Je marmonnais des mots sans suite et mendormis dans ses bras, ivre de plaisir.
Le lendemain, je me réveillais, Philippe me regardait de nouveau.
Je vais te baiser ma chérie, hier soir, je nai pas eu mon compte, trop excité que jétais.
Oui, viens mon amour.
Dhabitude, cest moi qui prends linitiative au réveil le matin.
Nous avons notre rituel, qui consiste à ce que, réveillée la première, je prends en bouche la queue de mon chéri encore endormi. La fellation que je pratique alors sur lui finit de le réveiller. Il se laisse faire, véritable homme objet, jusquà ce quil se vide dans ma bouche gourmande.
Ce matin, cétait différent, il prenait linitiative et voulait être le premier à posséder celle qui sétait tant donnée la veille.
Philippe, contrairement à ses habitudes, ne sattardait pas en baisers et en caresses. Il voulait me baiser. Jécartais donc en grand mes cuisses pour recevoir le sexe bandé de mon homme.
Philippe ma pistonné, dabord avec douceur puis très vite avec force, sa queue moins volumineuse que les autres ma donné beaucoup de plaisir et jai gueulé ma jouissance lorsquil a éjaculé en moi.
Javais envie de parler, de faire le point sur notre couple, sur nos pratiques. Dans les bras lun de lautre, nous avons eu une longue conversation.
Philippe, me regardait, infiniment tendre. Il membrassait et me caressait délicatement, amoureusement.
Tu as aimé, chéri ?
Te baiser dès le matin ? Bien sûr !
Je pensais à hier soir. Ca ta plu ?
Jai adoré. Tu es unique, mon Olga. Je taime tant.
Mais quest-ce que tu veux voir, tu me vois quand on fait lamour !
Mais dans ce moment-là... tu es simplement magnifiée. Au final, cest ton corps que je regarde. Et pourtant, je le connais par cur.
Quaimes-tu, quand tu vois un autre mec me prendre ?
Ce qui me fascine, cest lensemble, mon Olga qui se laisse aller à faire lamour avec un mec, parce quelle sait que ça mexcite à mort. Tu as une manière de faire lamour que je trouve ment divine. Tu es encore plus belle quand tu jouis. Tu as un corps fait pour faire lamour. Si cétait possible, jaimerais que tu passes tes journées à faire lamour, à te faire saillir, toujours nue, les mâles à qui je toffre se succédant sur toi. Je timagine couverte de sperme et ayant été honorée par tous tes orifices.
Vicieux, ça te plaisait les séances dabattage quorganisait pour moi Rachid !
Je le reconnais. A la fin tu étais épuisée, couverte de sperme. Tu en avais partout, sur tes seins, ton visage, tes fesses, tes cheveux. Jadore tembrasser, te nettoyer dans ces moment-là.
Ce qui est dommage, au temps du SIDA et des MST, est de ne pas pouvoir plus souvent me faire remplir par ces amants. Car tu sais que cest sans capote que ma jouissance est la plus intense, la plus dévastatrice. Parce que je sais quensuite mon chéri va venir nettoyer ma chatte et ainsi me donner une immense preuve damour. Quand je me fais prendre devant toi, je sais que cest à toi que je dois tout ce plaisir et cest à toi que je loffre, par les regards que nous échangeons, les paroles damour. Je sais combien tu aimes quand je me comporte comme une putain, mon mari candauliste et vicieux !
Je ne men lasse pas. Quelquefois, comme hier soir, jai peur que tu meurs de plaisir. Quand tu prends ton pied et je que je te tiens la main, tu écrases mes doigts, tellement tu jouis. On a limpression que cest tellement fort que tu es au bord de lévanouissement.
Oui hier soir jai cru un moment que mon cur allait exploser.
Ce qui me fascine, cest la façon dont tu te sers de ton corps, avec des moments où tu prends linitiative et dautres où tu es totalement passive. Plus crûment, jaime bien aussi quand tu suces le mec. Je connais tes talents exceptionnels de fellatrice !
Parfois je me dis : « Je couche avec un ou des mecs que je navais jamais vus deux heures avant et mon mari est là, il est à poil et il se paluche » Cest bizarre, quoi ! Mais je me dis aussi, quen me matant, tu es aussi en train de prendre ton pied, que tu téclates et ça me fait plaisir. Et moi jaime ça, jaime vraiment faire lamour. Jadore découvrir un nouveau corps, une nouvelle peau. Tu me donnes cette chance de pouvoir rencontrer dautres mecs.
Tu étais déjà hypersexuelle avant de me connaitre.
Cest vrai, mais tavoir rencontré a changé ma vie. Dune part, tu mas fait comprendre quil fallait que jassume mon hypersexualité. Et surtout tu mas fait découvrir le candaulisme et cette complicité qui en découle.
Ca na pas été sans dérapages. Il y a eu Rachid, Hassan, nos infidélités réciproques. Aujourdhui, notre couple doit trouver son équilibre. Ce nest pas facile. Je me rends compte que ces longues semaines dabstinence que nous nous imposons sont très dures à vivre, pour toi comme pour moi. Hier tu étais en situation durgence, je lai perçu à la violence de ton plaisir.
Tu sais, chéri, jai un rapport de mammifère au corps. Cest pour ça que jai toujours adoré être enceinte. Je trouve que ça fait du bien, de revenir à un état où tu poses ton cerveau et tu laisses ton corps parler. Je pense que les femmes ont souvent un problème pour passer de la maman à lamante. Cest compliqué, parfois, de changer de rôle.
Moi, jadore quand tu me regardes et que je vois dans tes yeux que cest bien... Mais même quand tu ne me regardes pas, tu fermes les yeux et je vois à lexpression de ton visage que tu es bien, que tu prends ton pied. Chérie, mettons à profit ces quelques jours pour dautres moments comme celui-là, pour faire ce que nous ne pouvons faire librement tout au long de lannée, pour préserver les s et notre réputation. Toi, tu as déjà un plan pour demain ?
Et bien hier, en fin daprès-midi, après avoir « levé » Ibrahim et Youssef et le temps avant cette soirée dont je savais quelle serait torride, jai fait une promenade en ville et jai sympathisé avec deux commerçants, Mouloud et Majid. Ils sont originaires de cette ville mais sont aussi commerçants au souk de Tunis. Ils mont dragué comme des fous. Jai eu du mal à les faire patienter, je leur ai promis de venir les visiter au souk à Tunis. Mais à une condition bien évidemment : que tu puisses assister. Ils ont bien sûr accepté. Cest prévu pour demain, si tu es daccord bien entendu.
Evidemment que je suis daccord ! Cochonne, lhôtel ne te suffit donc plus comme terrain de chasse !
Lidée de me faire baiser dans une arrière-boutique, dans un souk, devant toi, me plait beaucoup !
(A suivre)
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